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Published on 27 October 2025 at 15:19

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  • 18/09/25 : 

 

L'argent nous aveugle,

Il nous empêche de voir l'urgence climatique comme l’humanité qui nous entoure :

Nous souffrons de cécité face à la sur pêche,

la mort des dauphins, requins et l’épuisement des océans.

Nous souffrons de cécité quand nous puisons

Dans la terre pour plus de pétrole et de Gaz.

Nous souffons de cécité quand nous organisons l'obsolescence pour vendre encore et encore....

Nous souffrons de cécité quand nous polluons toujours plus dans une société de consomation jamais satisfaite...

Nous souffrons de cécité quand, à cause de lui, nous manquons de compassion et d’empathie envers l’autre….

 

  • 27/10/25 :

Projets d'extraction d'energies fossiles dans le monde :

"Bien que présents aux quatre coins du monde, ces projets se concentrent pour l’essentiel en Asie, en Amérique du Nord et en Océanie. Quatre Etats se détachent nettement : la Chine, la Russie, l’Iran et les Etats-Unis abritent à eux seuls 642 projets planifiés, pour un potentiel total d’émissions de près de 300 GtCO₂".

Quatre états dont trois qui ne respectent pas le droit international.

Pour plus de détail :

https://carbonbombs.org/?tab=projects


www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2025/10/27/petrole-gaz-charbon-ces-nouveaux-projets-fossiles-qui-compromettent-la-lutte-pour-le-climat_6649785_4355770.html

 

Mon commentaire (contribution à l'article) sur le Monde :

"indignation.online Pascal27/10/2025 - 07h24

Tant que l'argent dirigera la Planéte, cela ne s'arrêtera pas....!."

 

Et d'ailleurs, je ne suis pas le seul à le dire...!

 

 

 

  • 24/10/25 .  Echappons nous un peu :

La Musique

Elle éléve l’esprit,

Elle éveille l’esprit...

Elle nous fait découvrir le temps long,

Celui d’une chanson ;

Elle transcende,

Miraculeuse,

Elle apaise les plaies,

Ou les mets à jour, par ses sons,

Ses rythmes ;

Elle chante l’espoir humain,

Elle glorifie la beauté,

Et une certaine pureté.

Elle fait toucher l’amour,

Qu’elle chante éternellement.

C’est un vrai cri de l’âme.

« C’est Imagine de John Lennon » ;

Pascal

 

  • 30/10/2025 :

Taxe par ci, taxe par là....la bataille pour l'argent continue...l'argent qui divise, l'argent qui corrompt, l'argent qui annile comme les pauvres gens à Gaza sous les bombes americaines....

" L'argent, maitre du Monde qui l'asservie et le tue...".

Pascal

 

  • 31/10/2015 :

Gaza bombardée par Israel en plein cessez-le-feu :Depuis le début du cessez-le-feu le 11 octobre, le ministére de la santé palestinien a fait état de 211 morts et 597 blessés.

Tout ce qu'il dit, je le pense ; http://www.instagram.com/reel/DQXDjKDDF1m/...

 

  • 7/11/2025 :

La jeunesse, la brillance, l’éloquence, la générosité, l’intelligence, l’audace et l’aggressivité politique : il a tout...!.

Parce que de trés nombreux émigrants irlandais sont partis des côtes d’Irlande pour New York, à la recherche d’un meilleur avenir, au début du siécle passé ; l’Irlande célébre aujourd’hui sa victoire à la mairie de New York  :

« Vive Zohran Mandani « . et Vive New York.

 

comme eux (et comme moi) , immigrant et pro-palestinien.

  • 7/11/2025 :    Un témoignage magnifique de Jean Paul Caussieu, mon ami.

"Comprennent et ressentent ceux qui ont du cœur !,

Cette pièce de monnaie que tu m'as demandé.

Nous étions ensemble depuis ces quelques longs mois d'été. Nous avions bu, fumé quelquefois, très peu mangé, dormi où bon nous semblait, rencontré des amis, mais nous n'avions pas parlé d'un monde nouveau, celui que nous aimerions construire car, l'avenir nous semblait impossible, l'espoir était déjà éteint, il nous restait seulement à survivre à un présent difficile. Chacun avait sa fêlure, une trop grande sensibilité, le poids d'une jeune vie déjà brisée. Nous étions des marginaux, trop sensibles pour nous adapter, trop beaux pour nous soumettre, souffrant trop pour prendre cette vie avec désinvolture. Nous étions de partout et de nulle part, différents de tous, différents de ceux qui nous observaient avec un mélange de répulsion, de colère et d'envie pour cette liberté que nous ne voulions renier, mais que pourtant pour beaucoup d'entre nous, nous ne savions préserver que dans l'oubli procuré par toutes sortes d'ivresses et, en particulier, dans la dive bouteille, cet échappatoire qui nous sauvait et nous tuait à la fois.

Il n'y a pas de rémission pour celui sur qui pèse un trop lourd destin, un implacable Karma. Il faut marcher, marcher, ne jamais abandonner même brisé. Tête baissée, il faut, quand même, tenter d'être, avalant la cruauté, le dédain, le rejet comme un poison qui toujours éteint quelque chose en nous, ce quelque chose qu'il faut sans cesse reconstruire ou bien continuer à en vivre l'amertume.

Nous étions ensemble, compagnons d'infortunes, et avancions sans crainte et sans peur, sans joie, sans espoir non plus, vers un lendemain sans illusion.

Il nous fallait avancer, trouver un endroit plus chaud pour nous poser, protégés des grands froids qui s'annonçaient. Nous ne parlions pas, qu'avions nous à dire que nous ne savions déjà.

… et puis, est ce une envie de te retrouver seul face à ton malheur, est-ce le besoin de ta douloureuse liberté totale, absolue, de souffrir ta peine en solitaire qui t'a envahi ? ou un peu de compassion pour ma jeunesse face à ce dur sentier où nous nous engagions ? je ne savais encore :

-Tu m'as regardé : j'étais en mon esprit de nulle part, parfait inadapté, même à ton monde, ou adapté à tous sans encore avoir pu poser pied, j'étais différent … et tu m'as bien aimé car nous nous ressemblions. Où que j'aille le poids de cette souffrance, qui me tenaillait, me pèserait, tout comme à toi, mais une force était encore en moi. J'étais parti avec toi mon ami pour, sans crainte, aller au bout du "rien".

-Oui, tu m'as regardé à nouveau, et tu t'es décidé ; notre bout de route, ensemble, devait s'arrêter là. Nous étions pourtant libres et nous nous entendions bien, j'étais même prêt à t'accompagner n'importe où, mais, ce "rien" où je pensais aller avec toi, tu me l'as refusé … J'avais confiance en toi et cet honneur tu l'as sublimé : tu me guiderais, oui tu l'avais accepté, mais non point où je l'avais imaginé. Ce jour là tu sus qu'il y avait une autre direction où je devais aller, vers le monde de ceux qui décident de se battre avec cœur et amour, amitié aussi, dans la société. J'en avais encore la force, il subsistait en moi un peu de cette braise qui pouvait, si le sourire d'un être aimé me traversait, se rallumer.

Pour toi il était déjà trop tard, tu l'acceptais mais tu avais cette volonté des souvenirs et des méditations solitaires de vouloir ne pas m'entrainer, à tes côtés, vers le vide.

Et tu m'as fait cette demande, tu as eu cette parole froide qui pourtant m'a sauvé : tu m'as réclamé de la monnaie, une pièce ; une pièce que nous avions pourtant toujours partagée, mais ce jour là en me la demandant tu me rejetais dans le monde des autres, tu faisais de moi celui à qui l'on mendie, le différent, celui qui appartenait à cette société que tu avais quittée. Tu as pris ce rôle de celui qui quémande et reçois si peu souvent.

Tu étais plus fort que moi, je n'aurais pu subsister dans cet univers ingrat, dur et qui pourtant atteint le bout de la générosité, celle qui accepte de recevoir et qui en échange donne un brin d'amour propre et d'avenir à celui qui donne.

Oui mon ami tu m'as, toi, sauvé de ce chemin pour lequel je n'avais pas l'envergure, bien que, s'il eut fallu, je l'eus accepté (combien d'autres mondes ai-je dû accepter depuis).

Tu as fait de mon trop plein de fierté et d'orgueil la détermination qui allait me faire revenir à moi-même sans que je ne t'oublie.

Je t'ai donné cette pièce et je suis reparti, surpris ; j'ai repris ma route vers une autre direction où d'autres épreuves me reconstruiraient.

Tu es parti, toi, vers ton moi, celui d'une vie, surement l'une des plus dures qu'il soit, celle où on est le plus bas, le plus renié, le plus rejeté, sans plus de fierté apparente, dans laquelle seuls le cœur et l'âme ne peuvent se donner car ils appartiennent à la foi d'un monde meilleur dans un ailleurs que, j'espère, tu as trouvé.

Il me revient à la mémoire cette phrase de Jésus de Nazareth : "les derniers seront les premiers". Oui tu étais considéré comme l'un des derniers d'entre nous, le rejeté, et pourtant par ta générosité sensible et désintéressée, tu devenais le premier d'âme et de cœur. Pour cette simple pièce tu réussissais à m'éloigner de l'inconscience, de la déchéance me donnant un avenir, un espoir et même l'ambition de lutter, pour moi, pour toi, pour vous, pour un monde meilleur où tous seraient acceptés sans dédain et avec respect. Nous étions humains, comme tous, et surement bien plus que beaucoup.

Merci mon ami. Il m'est difficile d'arriver à avoir la sensibilité de te rendre hommage mais de mon mieux ces quelques mots sont pour toi et pour tous ceux qu'ensuite je rencontrais et qui certains me donnèrent aussi, même dans une affreuse misère, la foi de tenter d'écrire afin, que, pour moi, que, pour eux, s'il se peut, je puisse parler.Cette pièce que mon ami je te donnais elle était une excuse à ta générosité mais la nécessité de manger, d'être soigné, et de me sauver te fis me la demander, comme signification.

"Alors aujourd'hui je voudrais crier, non pour toi qui, sûrement, n'es plus parmi nous, les gens dans la rue ne faisant pas des vieux os, mais pour tous ceux qui comme toi, sont dans la misère matérielle, rejetés. Vous avez, comme tous, plus que tous, besoin de nourriture, de soins mais, surtout, vous avez quelquefois, aussi, besoin d'un vrai sourire de reconnaissance partagé, d'un geste, car une simple pièce nous est rendue au centuple par votre monnaie qui enrichit nos âmes."

Oui mon ami tu as su, à moi, comme à tant d'autres, me réconcilier avec moi-même.

"Il n'y a pas d'excuse de Karma, de recherche d'une vie plus profonde, loin de toutes contraintes matérielles, de liberté, car bien qu'il soit vrai, que nous devrions, tous, avoir une âme, nous avons aussi un corps à nourrir et il n'est vraiment, vraiment ,vraiment pas acceptable que, et c'est bien pire, même l'enfant que les parents trop démunis ne peuvent nourrir, soit là-bas, encore en train de mourir de faim ou de manque de soins, encore à notre époque. Alors qu'ailleurs, affreuse et horrible, terrible comparaison, certains ne savent pas quoi faire de toutes les richesses qu'ils continuent ambitieusement, en dehors de toute compassion, d'amasser, d'amasser, d'amasser, gavés à n'en plus finir.

D'autres moins extrêmes, insouciants, mais coupables tout de même, gaspillant à tout va. Les cyniques règles et lois du marché ayant souvent la froide capacité du mépris, du dédain, de l'égoïsme, de l'indifférence, de l'inconscience, du rejet, ce rejet souvent, avant tout, de nous-mêmes, de notre beauté intérieure, de l'accès renié à toute élévation du moi par la générosité, par une acceptation de l'humain qui pourrait vivre en nous, en tous".

Oui mon ami tu m'as sauvé la vie en m'écartant de ce sentier abrupt et tout en sachant que celui où tu me rejetais serait peut être aussi effrayant mais, comme il était à moi destiné, tu savais que j'aurais la force de me battre pour le parcourir car je le choisirais. Tu as su voir, toi et cet autre qui, imbibé d'abandon et de solitude, écrivait quand même encore des poésies. Toi, lui et tant d'autres qui m'avaient donné cette force de dire un maladroit mot pour vous. Toi, lui et tant d'autres qui êtes restés dans mon esprit et m'avez donné bien plus que tous ces capitaines d'industrie, ces gens "bien placés", ces "respectables", ces "notables" et tous ceux que je croisais et qui avaient oublié d'écouter leur âmes et la générosité qui devrait être naturelle à tous les humains.

Oui mon ami tu m'as donné ce qu'après une cinquantaine d'années je ne peux oublier, un véritable don de fraternité : celui qui en éloignant du danger, sacrifie la proximité chaleureuse de l'amitié et saute dans le froid vif de la solitude … payé d'une simple pièce de monnaie.

Alors si mes écrits pouvaient réussir à te rendre hommage, te réchauffer un peu l'âme ou t'aider, au moins de quelques pièces que, quelques uns, touchés, te donneraient et que, je le sais, tu accepterais car tu en as vraiment besoin. Si cela était je te serais, quand même, débiteur de ce chemin que tu m'as montré, de cette direction qui m'a permis de revenir à moi.Ce fut un grand, long voyage que j'ai, alors, fait et où tu m'as entrainé, non pas vers ce rien pour lequel je pensais t'accompagner, non pas ensuite vers de l'argent à amasser, mais pour un retour à moi, à celui que tu avais su déceler, vers ce TOUT que tu m'as enseigné et qui s'appelle ÊTRE et générosité d'âme, de cœur, c'est à dire beauté intérieure.-Merci mon compagnon de voyage, toi qui a sauvé ton ami abandonnant la chaleur du partage pour le ramener à la vie.-Merci mon compagnon de voyage, de m'avoir montré ton monde l'espace de quelques moments et de m'avoir redirigé vers le mien. Bonne route!

Aujourd'hui je retrouve ma sensibilité mais, grâce à toi, à vous, et à tant d'autres, je voudrais la sublimer car vous m'avez aidé à l'accepter, à m'en servir pour comprendre, ressentir et remercier ce monde … qui s'embellit du sourire de Nadia qui m'a traversé le cœur.

Aujourd'hui je suis heureux.

Je serais mort si tu ne m'en avais détourné … pour une pièce de monnaie".


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